L’autorité de l’Etat, reflet de l’éducation traditionnelle
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L’éducation traditionnelle crée une sorte « d’alerte rouge » chez moi !
En effet, quand papa est dans un sale « Etat » et que maman « gouverne et ment », ça sent le roussi ! Pour ma santé physique et mentale, je préfère quitter le foyer familial, pour ne plus subir les effets délétères de leur abus de pouvoir.
Car oui, encadrer et montrer la bonne direction n’est pas censé être un abus, mais un cadre juste et bienveillant.
Je crois que si nous voulons arrêter de subir cet abus (si c’est ainsi que tu le vis), il est nécessaire d’arrêter de le cautionner à notre petite échelle, et plus particulièrement avec nos enfants.
Alors en Marche…vers l’émancipation et la souveraineté individuelle !
Dans cet article, je compare l’éducation traditionnelle avec la façon, autrement dit la forme, dont les directives gouvernementales sont mises en place envers les citoyens des Etats.
Tu remarqueras l’utilisation ponctuelle du langage des oiseaux. Par exemple : Essentiel –> Essence Ciel ; Périnée –> Père Inné
Le langage et les comportements de l’éducation traditionnelle
Allons voir de plus près les comportements et le langage qui engendrent des relations de dépendance et malsaines et qui sont à la base de l’éducation traditionnelle. Ce langage est appelé SAPPE (Sourd, Aveugle, Pernicieux, Pervers, Energétivore) par la méthode ESPERE de Jacques Salomé, et Chacal en Communication Non Violente.
Toute cette rhétorique « gouverne le mental » passe dans mon filtre à discernement grâce à mon étude du fonctionnement humain avec des outils comme la CNV, la méthode Espere ou l’Ennéagramme.
Cela m’a permis de prendre de la distance avec les mots et les discours qui reflètent une vision des relations que je ne soutiens pas.
Injonctions de type « il faut », « vous devez »
L’obéissance a toujours été plus dangereuse que la désobéissance civile. Sonia Delahaigue (interview France Soir)
Un adulte n’a pas besoin d’être éduqué, encore moins d’obéir. En effet, nous sommes des adultes, c’est à dire que nous avons, en principe, acquis les règles de société pendant l’enfance (la politesse, les normes culturelles etc). Cela veut dire que toute personne qui te dicte quoi faire te prend pour …un enfant !
La seule autorité à laquelle nous avons le devoir d’obéir, c’est nous !
Je SUIS l’autorité suprême créatrice de l’univers, elle est en nous, à l’intérieur de nous, et le moment est venu de s’en rappeler. Ghislaine Lanctôt
Intérioriser la règle de la société, oui, à la seule condition qu’elle nous paraisse juste et légitime.
Alors que nous sommes en proie à des injonctions permanentes au niveau sociétal, nous pouvons agir individuellement pour nous en détacher et réduire ces injonctions dans nos vies de parents.
1ère action : Tu peux te demander si tu consens à ton niveau que ton mari, ta mère, ton père, tes amis ou quiconque te dise comment te comporter et quels choix tu dois faire dans ta vie. Si oui, peux-tu agir en conséquence pour retrouver ton autorité intérieure ?
2e action liée à la première : Cesser d’obéir à tes propres « je dois », « il faut » et te connecter à tes émotions et tes besoins. Ton autorité intérieure n’est pas la parole de l’autorité extérieure que tu reprends à ton compte, mais une action vers l’écoute de toi-même, à commencer par ton cœur.
3e action : Avec tes enfants, peux-tu envisager de fonder la relation sur du dialogue et de la coopération ? Il y a certes un minimum d’obéissance car nous sommes le guide de notre enfant et que l’on ne va pas revenir sur la règle de base et les habitudes tous les jours. Mais au delà de ça, l’enfant est-il de la terre glaise que tu modèles à ta manière ou bien une graine que tu laisses s’épanouir ?
Concrètement, il s’agit de voir puis de supprimer tous les « il faut », « tu dois » comme moyen d’éducation. Ces mots tentent de faire agir l’autre à partir d’un élan extérieur. Or, toute personne aime généralement agir à partir de ce qui fait sens pour elle et/ou quand la demande « sonne juste » pour celle qui la reçoit.
Mensonge
Le mensonge est parfois utilisé dans l’éducation traditionnelle avec les enfants pour leur faire faire quelque chose ou leur en occulter d’autres. La vraie raison sous-jacente n’est pas dite.
Je l’explique par la volonté de parfois les protéger, parfois pour aller plus vite et ne pas s’embarquer dans une grande explication, ou encore par « le principe que les enfants n’ont pas à savoir ce que les adultes ont en tête ».
La politique n’a ni yeux, ni oreilles, ni cœur ; en politique le vrai et le mensonge portent le même pagne, le juste et l’injuste marchent de pair, le bien et le mal s’achètent ou se vendent au même prix. Ahmadou Kourouma, écrivain ivoirien (que j’ai étudié en licence!)
Les adultes peuvent également mentir quand ils sont plus en lien avec la sécurité qu’avec la cohérence.
Dans le magazine Nexus n°136, Louis Fouché, figure emblématique à l’origine de RéinfoCovid, est cité. Je le reprends ici : « Votre vulnérabilité au mensonge dépend du niveau de contradiction sociale dans lequel vous vivez. (…) Si vous êtes dans pas mal d’impostures, vous allez plus facilement accepter une imposture de plus. »
Le mensonge politique, aujourd’hui, et c’est une nouveauté, vise à tromper avant tout les opinions publiques. Le mensonge politique à l’ancienne visait à tromper d’autres gouvernements. Jean-François Ricard (Philosophe, essayiste et journaliste français (1924-2006))
La petite mission de ce paragraphe est de commencer à être honnête envers soi-même. « J’ai peur des conséquences si je dis la vérité, si j’agis selon mon ressenti ».
Et puis d’aller un peu plus loin pour faire un choix au niveau de sa conscience.
Avec les enfants, que penses-tu d’être honnête sur tes intentions ? Il ne s’agit pas de tout leur dire, mais au moins de ne pas être dissonant.
En ce qui concerne le mensonge chez les enfants, voici un article sur le blog de Christel qui explique très bien leurs raisons de mentir selon l’âge, les situations, et comment y réagir.
Menaces et punitions
Si tu n’as pas ton passe sanitaire, tu seras privé.e de sortie !
Les restos, les boîtes de nuit, les clubs, bref, tout ce qui te permet de te détendre en buvant un verre avec tes potes, c’est fini ! Pourquoi ? C’est comme ça. Tu t’es mal comporté, c’est le juste retour de bâton, non ?
Tu n’as pas ton masque ? Pas bien ! Attention, le gendarme va te coller une amende !
Tu sors alors que c’est interdit, tu vas prendre cher.
Tu as osé revendiquer ton droit d’expression ? Tu perdras peut-être un œil !
– Tu te comportes mal à table ? privé de dessert !
– Tu as fais mal à un copain ? privé de TV !
– Tu t’es mal comporté, au coin ! J’ai vu un professeur agir ainsi avec des élèves de 4ème en 2012 (pas si vieux que ça !) alors que j’étais AVS.
Je te tire les oreilles pour manquement grave de respect à l’autorité suprême de l’adulte que je suis. « C’est pour ton bien, c’est pour que tu apprennes à mieux te comporter. » L’éducation traditionnelle accepte communément l’idée que « Qui aime bien châtie bien. »
La punition est humiliante et n’a pas de rapport avec le comportement. La punition comporte une intention de faire peur pour éviter que l’enfant transgresse la règle et de faire mal (ou de retirer le plaisir) lors de son application.
Elle est différente de la sanction dans le sens où celle-ci est claire, cohérente, connue d’avance, constructive, et est la conséquence de la transgression d’une règle, applicable pour des enfants de plus de 3 ans uniquement. Pour moi, il est essentiel d’y inclure respect et dialogue.
Selon les familles, cela pourrait donner ceci :
– Si un objet est cassé, on le répare.
– On ne vole pas. Si cela arrive, on discutera de ce qu’il s’est passé pour toi et tu iras discuter et demander pardon à la personne lésée, avec notre aide si besoin.
– Si tu renverses de l’eau, tu contribues à essuyer en allant chercher une éponge.
Une connaissance m’a dit qu’un cousin à elle, dans les années 60-70, avait été pendu par les pieds par son père en guise de punition pour le grave crime d’avoir renversé un verre d’eau !!
Récompenses
Tu as fais ton injection ? C’est bien, tu seras bien noté pour ton éventuel futur crédit social à la chinoise. Ainsi, tu pourras continuer à contracter un crédit immobilier, inscrire ton enfant à l’école privée, voyager etc.
Tu t’es bien comporté aujourd’hui ? Tu as bien suivi la consigne ? C’est bien, tu auras une gommette verte et même une image.
L’éducation traditionnelle encourage la récompense. Le problème avec celle-ci, c’est que la motivation est à l’extérieure. C’est la carotte qui motive, mais pas les raisons propres à chacun.e. Le risque est d’éteindre petit à petit la motivation intrinsèque de l’enfant et qu’il accomplisse des actions juste pour faire plaisir à ses parents et ses professeurs.
Je crois que la vraie récompense est une gratitude que l’on s’offre à soi-même et qui est reliée à la joie.
Nous serons toujours récompensés en apprenant à vivre un autre type d’éducation avec nos enfants. Ainsi, nous nous donnons l’opportunité d’avoir une relation dans le partage et l’amour avec nos enfants une fois devenus adultes (pas forcément, mais il y a plus de chances quand-même !)
L’astuce est de se projeter quand ils auront 10 ou 20 ans de plus.
Contrôle excessif
Contrôler à outrance les allées et venues de nos enfants me fait penser aux smartphones qui permettent d’être géolocalisés à tout instant. L’hyper-sécurité que permet le fait de se joindre à tout instant entraîne également un espace d’intimité de plus en plus réduit. Et quand c’est nous qui nous auto-contrôlons via des applications mobiles, la tâche en est d’autant plus facilitée pour les contrôlants. Tu peux voir la bande-annonce du reportage d’Arte 7 milliards de suspects.
Culpabilisation, accusations, étiquettes
– Tu mets ton père en colère !
– Tu rends maman triste !
– Tu es un incapable.
– Tu es infernal !!
– Vous êtes responsables de transmettre le virus aux autres !
– Ce sont des complotistes.
– Vous êtes responsables du manque de place dans les hôpitaux car vous n’avez pas respecté les directives.
– C’est de la faute de vos comportements d’irresponsables (de vous être approchés un peu trop près de mamie) que beaucoup de personnes âgées sont décédées.
– C’est à cause des non-vaccinés que les hôpitaux sont engorgés. Etc.
Les étiquettes et jugements sur les autres closent le débat et toute progression possible et sont la base de l’éducation traditionnelle !
Dans une relation, nous sommes 2. Visualisons la relation comme une écharpe entre ces 2 personnes. La méthode Espere enseigne que nous sommes responsables de notre bout de l’écharpe, c’est à dire à 50% de la relation, ni plus, ni moins.
Je vois la maladie d’une manière similaire. Si je suis en contact avec une personne malade, ce n’est pas de sa faute si je deviens malade à mon tour. Elle a juste servi de déclencheur pour que la maladie se déclare chez moi également, afin que je prenne conscience de quelque chose ou rééquilibre mon système interne.
Me faire culpabiliser comme quoi je serais égoïste, pour m’inciter à me faire faire un acte quelqu’il soit, ne peut pas me convaincre car:
- Cette forme de communication me passe au dessus.
- Je fais partie des personnes qui choisissent de penser à elles. Après un certain travail sur moi, et si tu as lu mon bonus, je t’annonce que je suis en type 9 de l’Ennéagramme, caractérisé par « l’oubli de soi » donc je sais de quoi je parle. Ainsi, ce n’est pas par égoïsme, mais par soin et protection pour l’individu que je suis. Comme une mère qui met son masque à oxygène en premier dans l’avion avant de le mettre à ses enfants.
De plus, je t’invite à lire l’article qui montre quel regard je pose sur les maladies et comportements particuliers que vivent mes enfants.
Il me semble que le message véhiculé socialement donne beaucoup de pouvoir aux petits individus que nous sommes en nous rendant responsables (et coupables) de l’état de santé de nos semblables.
Si chacun s’occupait de son état de santé de manière préventive sur tous les plans (physiques, émotionnel, spirituel, relationnel), ce serait déjà pas mal !
L’altruisme commence par soi.
Et la sacro-sainte culpabilité héritée de la chrétienté fait partie de valeurs qui pour moi sont obsolètes.
Enfin, la culpabilité utilisée comme moyen d’éducation est délétère, elle entraîne une perte de la motivation chez l’enfant, des attitudes de colère et de rébellion, de la distance et une perte de confiance en l’adulte.
Si tu as cette tendance, ou si la culpabilité est chose courante chez toi, je t’invite à lire mon article sur la culpabilité et la recherche de perfection.
Maltraitance
Les décisions prises sont pour ton bien : ta sécurité et ta santé !
Qu’importent les moyens mis en œuvre pour cela puisque c’est pour ton bien. C’est ainsi que l’on a justifié des années « d’éducation noire », concept repris dans les ouvrages d’Alice Miller dont C’est pour ton bien.
Dès lors que quelqu’un parle de ce qui est pour notre intérêt, notre sécurité, notre santé, et bien par principe, je me méfie et je cherche à savoir quel est son intérêt à lui. En effet, l’histoire montre que ça n’a jamais fait de bien à l’enfant quand l’adulte lui disait qu’il agissait « pour son bien ».
En réalité, je suis la seule à sentir ce qui est bon pour moi. Et toi à sentir ce qui est bon pour toi !
Donc quand un adulte envoie à l’enfant le message qu’il l’aime et qu’en même temps il le tape et l’humilie, il lui montre que l’amour est quelque chose qui fait mal. La construction de ce qu’est l’amour chez l’enfant en devient juste désastreuse. La maltraitance n’est pas que la violence physique, c’est aussi la violence sexuelle, et psychologique (qui passe à travers tout ce langage de l’éducation traditionnelle que je décris ici).
La pire incohérence qui soit est qu’un parent censé être aimant soit maltraitant. Le cerveau de l’enfant fuit alors par la dissociation (la fuite chimique, puisqu’il ne peut pas fuir réellement). La maltraitance au quotidien est l’éducation traditionnelle par excellence, celle subie par la majorité des personnes vivantes à ce jour.
N’as-tu pas trouvé de nombreuses incohérences et injonctions paradoxales pendant cette « crise » ?
– Quand on exige de faire porter un masque dans la rue alors que les terrasses sont blindées de personnes sans masque.
– Lorsque des personnes âgées sont privées de visite « au nom de leur santé » alors que l’on sait que le sens du toucher est ce qu’il leur reste de plus précieux pour terminer leurs vieux jours avec dignité et un minimum de bien-être.
– Quand il est dit que la vaccination protège les autres mais que l’on reste contagieux etc.
La même dissociation se reproduit quand les personnes sont face à des situations incohérentes, car elles renvoient à la maltraitance infantile.
Ceci explique pourquoi peu de personnes réagissent ou ne sont même pas choquées par cette maltraitance: « j’ai reçu des bouffes enfant et ça ne m’a jamais fait de mal« . Car si on voyait vraiment la maltraitance telle qu’elle est ou a été, ce serait trop violent. Et le risque serait de faire comme le type qui a giflé le président, perdre le contrôle.
Donc, pour éviter de péter un plomb tout en refusant la maltraitance que tu pourrais subir dans ta vie actuellement (qu’elle provienne d’un compagnon violent, de la famille, ou de papa dans un sale état et maman gouverne et ment) voici 4 actions que je te propose :
– Revenir bien présent.e dans ta vie et aux choses concrètes du quotidien (cela veut dire éviter la fuite dans les films, la fumette, les jeux addictifs, le déni de ta souffrance…)
– Voir que les personnes qui sont censées t’avoir apporté de l’amour enfant ont pu te donner une vision déformée de ce qu’il est (que ce soit par maladresse, ignorance ou volonté de nuire).
– Te traiter avec douceur, prendre soin de toi !! (ne pas te juger)
– Choisir de ne plus cautionner les actes incohérents et mensongers imposées par les autres en disant un « simple » NON.
Il va de soi qu’en voyant celle que tu as subi (ou que tu subis présentement), tu diminueras celles envers tes enfants.
Pour compléter cet article, j’ajoute le lien vers l’interview par le journal France Soir de la psychologue Sonia Delahaigue, qui complète mon propos (notamment avec l’expérience de Milgram) pour toutes les personnes qui se sentent « infantilisées » par papa Etat 😉
Si tu souhaites aller vers un autre type d’éducation (la parentalité positive par exemple), il est toujours possible de le démarrer en cours de route ! Être parent est un rôle qui s’apprend ! Tu peux voir ici si mon accompagnement te conviendrait.
6 commentaires
Nicolas
Je suis bien d’accord sur l’aspect sous-estimé de la puissance des mots sur notre incnscient. On devrait systématiquement réfléchir aux effets de nos paroles (encore plus sur des enfants). Par contre personnellement j’accepte que l’on soit directif avec moi si je CONSIDERE LA PERSONNE comme une experte dans son domaine… Un peu comme un enfant doit le faire vis à vis de ses parents.
Bastienne
A chacun de jauger ses limites pour ça 😉
Alice
Merci pour cet article que j’ai apprécié.
Il y a eu tant d’abus, dans tous les domaines, depuis si longtemps , que nous en sommes anesthésiés.
Il est difficile de l’admettre .
Et pourtant grâce à cela, nous pourrons retrouver notre souveraineté d’humain, en équilibre avec le monde et notre planète.
Mélanie
Article très juste et bien amené ! L’éducation traditionnelle manque encore cruellement de bienveillance et d’empathie, ce qui conduit d’ailleurs beaucoup de familles à déscolariser leurs enfants. La preuve que quelque chose cloche… Mais j’ai espoir que les bonnes questions soient en train de se poser et que les choses changent peu à peu ! Je croise les doigts !
Anonyme
Merci pour cet article, je n’en reviens pas de n’avoir jamais tilté pour ce langage des oiseaux !!
Le parallèle entre punitions pour les enfants et les « punitions » du gouverne-ment dans ce contexte sanitaire est très éloquent, cette image me marque, et l’on en voit bien toute l’absurdité et la violence que cela implique…
Bastienne
Complètement…