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Pleurs des bébés, quoi (ne pas) faire ?

L’article se concentre sur les pleurs des bébés même s’il aborde brièvement les colères et les pleurs chez les enfants jusqu’à 7 ans.

De quelle école es-tu ? Ou bien si ton opinion n’est pas tranchée à ce sujet, qu’as-tu le plus entendu : qu’il fallait laisser pleurer le bébé ou bien tout faire pour qu’il ne pleure pas ?

Bien avant d’avoir mon premier petit garçon, une amie (aussi formatrice en Communication Non Violente) me prêta un livre. Il s’appelait Mon bébé comprend tout dont l’auteure est Aletha Solter.
Quelques années plus tard, enceinte, j’intégrai un lieu d’habitat collectif et j’y découvrais des personnes qui vivaient ce que disait Aletha Solter dans son bouquin.
Quelques mois plus tard, mon fils naissait, et j’expérimentais à mon tour !

Je souhaite, par cet article, te rassurer si tu es un futur parent : non, avoir un bébé n’est pas synonyme de devoir faire les 100 pas dans le couloir jusqu’à 2h du matin tous les soirs.
Bon, il faut bien admettre que les 3 premiers mois avec un nourrisson sont généralement assez intenses même si la durée et l’intensité des pleurs peut varier d’un bébé à l’autre, mais apprendre à faire autrement te permettra d’être plus zen face à ses pleurs.

Bienfaits des pleurs

Un jour, une connaissance m’a dit : « si j’ai des larmes, c’est bien que ça sert à quelque chose non ? » C’est tout bête mais cette phrase m’avait, à l’époque de mes 22 ans, enlevé une part de culpabilité dans le fait de pleurer.

bébé qui pleure

Ce n’est pas le trauma lui-même qui est source de maladie, mais la détresse inconsciente, refoulée et irrémédiable de n’avoir pas le droit d’extérioriser sa souffrance ».

Alice Miller

Les pleurs ne sont pas la souffrance. En fait, pleurer est le processus qui libère de la souffrance.

Aletha Solter

Elle rajoute que les pleurs sont une extériorisation libératrice des émotions.

En fait, ils sont une forme de « décharge ». La décharge est un processus physiologique vital qui passe également par les cris, les tremblements (voir à ce propos la thérapie T.R.E. qui permet d’évacuer les tensions profondes par ce biais), la transpiration, l’éternuement, les cauchemars (uniquement pour les enfants), les émotions, les bâillements, les vomissements, l’urine, le sommeil paradoxal, et la jouissance physique (pour les adultes qui sont dans une « sexualité de décharge »).

Les processus de décharge témoignent qu’une douleur est en train d’être ressentie et combattue. Beaucoup de médicaments, engourdissant la douleur, répriment ainsi la décharge émotionnelle et ne font qu’entraver les mécanismes de guérison naturelle du corps. Ils vont exactement à l’encontre de leur destination première.

Aletha Solter – Mon bébé comprend tout

Causes des pleurs des bébés

Bébé est rassasié, changé, il a eu son compte de contact physique et de sommeil (selon ce que tu sens). Il peut y avoir les pleurs dus aux coliques ou aux dents, même si Aletha Solter dit que ces raisons sont largement exagérées. C’est toi qui apprends petit à petit à sentir les différences dans ses pleurs.

Donc une fois que tu t’es occupé.e de tout ça mais qu’il pleure encore, tu peux aller voir les causes suivantes :

-Souffrances prénatales et traumatismes de la naissance. Tu peux voir à ce propos mon article sur la naissance de l’âme qui aborde les pleurs également. Ou faire une visite chez l’ostéopathe ou un biokinergiste si ce n’est déjà fait.
-Besoins passés non satisfaits (exemple : être assez touché)
-Surcharge d’informations (exemple : jeune bébé emmené au supermarché ou une fête foraine où les sons et les lumières sont importants)
-Frustration à se sentir impuissant (souvent dans l’acquisition d’un nouvel apprentissage)
-Douleur physique – l’ostéopathie pour le bébé est aussi conseillée pour cela
– Il a un message à faire passer. Tu peux continuer ta lecture jusqu’au paragraphe qui parle de la Communication Connectée pour voir de quoi il s’agit.
– La maison ou les personnes proches sont chargées d’entités invisibles parasites
* Quand mon premier enfant avait quelques mois, un soir, il a pleuré de terreur, il regardait effrayé dans une direction bien précise de notre unique pièce de vie (nous vivions alors en yourte). Ma sœur, qui est passeuse d’âme, a identifié « un truc bizarre» chez nous qu’elle a dégagé. Tout allait bien ensuite.
* Une autre fois encore, nous étions allés chez les grands-parents. Mon fils, âgé de moins d’1 an, avait un sommeil agité là-bas et pleurait beaucoup, puis également dans la voiture en rentrant, et encore chez nous. Une amie me dit qu’il avait ramené avec lui ses arrière-grands-parents. Ceux-ci l’avaient trouvé lumineux et voulaient rester avec lui (comme les papillons de nuit attirés par la lumière). Elle les a gentiment invité à rejoindre d’autres cieux et à laisser notre bébé tranquille. Il s’est rapidement calmé ensuite.

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2 actions à éviter pour le bon développement du cerveau de ton bébé

L’intensité des pleurs du bébé peut être telle que l’adulte se coupe émotionnellement et ne répond plus aux besoins de son petit. Ça réveille tellement de blessures ou d’impuissance que l’adulte est complètement démuni.

Violence envers le bébé et l’enfant

Cela peut l’amener dans des états de violence envers son bébé (avec le syndrôme du bébé secoué, comme expliqué dans les carnets de santé). A éviter absolument car les conséquences au niveau psychomoteur peuvent être irréversibles !

Laisser l’enfant pleurer tout seul

bébé pleure

Enfin, cet adulte peut penser qu’il se calmera de lui-même en étant tout seul dans son berceau, isolé de ses figures d’attachement.
C’est une croyance qui prend racine dans les générations précédentes.
Alors, évidemment, le « moins pire » est de laisser l’enfant pleurer seul plutôt que de le violenter en le secouant ou le frappant !

Aujourd’hui, les neurosciences montrent que laisser un bébé pleurer tout seul fait augmenter son taux de cortisol, l’hormone de stress, qui s’imprimera durablement dans son amygdale (mémoire qui garde tous les souvenirs inconscients dans le cerveau limbique).

Aletha Solter, qui est psychologue spécialiste du développement, ajoute ceci :

-Les enfants ont un grand besoin d’être tenus et touchés
-La présence d’un autre être humain et la communication permettent une libération efficace des tensions
-L’enfant grandirait en enregistrant qu’on ne l’aime que lorsqu’il est content. L’accepter dans tous ses sentiments, c’est contribuer à lui apporter de l’amour inconditionnel.

Il suffirait de changer de point de vue et de rebrancher le câble avec son propre émotionnel pour faire autrement.

10 actions à éviter pour ne pas perdre ton énergie et ton temps à empêcher les pleurs

Ce que dit Aletha Solter, c’est que le parent qui pense qu’il doit éviter que son enfant pleure (sinon c’est un mauvais parent, c’est bien connu) trouve de multiples façons pour y parvenir :

1- en tête de liste : le bercement rapide c’est tellement courant et automatique que ça en paraît presque naturel. Même avant d’être mère, je me suis toujours demandée comment un bébé pouvait se détendre de cette façon ! Mais bon, peut-être que certains y parviennent.

2- tapotement

3- le faire rebondir doucement

4- le promener dans ses bras

5- l’emmener en ballade en poussette ou en voiture

6- le nourrir, lui donner un biberon ou une sucette

7- l’inciter à arrêter (« là là »)

8- lui mettre une tétine dans la bouche

9- le distraire avec un jouet, des claquements de bouche, de la musique, en le faisant rire, parler, en chantant

10- le complimenter parce qu’il ne pleure pas

Elle reprend les méthodes au dessus : crier, le frapper, le mettre dans son berceau et quitter la pièce, et même lui donner des calmants !!

Je ne dis pas qu’à la suite de la lecture de cet article, tu dois supprimer toutes les choses de cette liste (sauf la dernière phrase !). Par exemple, il m’arrive de bercer mon enfant tout en lui chantant une chanson, mais c’est pour le plaisir d’être avec lui. Et il doit très certainement t’arriver de le balader en poussette pour les courses ou autre !

Mais tu peux te questionner sur ton intention, le « pourquoi » tu mets ces façons de faire en place. Si tu repères que c’est pour taire ou calmer l’enfant, je t’invite à découvrir ce que propose Aletha Solter.

L’enfant qui suce son pouce et reste accroché à son doudou

Je suis bien placée pour le savoir : j’ai sucé mon pouce jusqu’à environ 7-8 ans et j’avais « 36 » morceaux de tissus avec moi… Selon Aletha Solter, ce sont des mécanismes qui répriment les pleurs.

Je mets un petit bémol : Si l’enfant le fait, c’est peut-être mieux cela plutôt qu’il exprime son émotionnel et que le parent se défoule sur lui tellement ça le met en stress !

Mon deuxième fils a très vite pris son pouce (un peu avant 1 mois) et je craignais qu’il ne prenne cette manie de s’empêcher de pleurer.

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Alors, je l’ai doucement encouragé à pleurer quand il le sentait. Depuis, il ne suce son pouce pratiquement que pour se mettre dans sa bulle pour s’endormir. Quand il se sent triste, contrarié ou autre, il l’exprime.

De plus, j’ai observé une nette différence dans l’attitude d’un enfant qui suce son pouce » ou « prend la tétine » pour s’endormir et l’enfant qui l’a en toutes circonstances ou dès qu’il se sent triste ou en colère (pour s’empêcher de pleurer). Ce sont des exemples très courants : l’enfant à qui on répète que « pleurer ne sert à rien, qu’il faut être fort », a compris qu’il valait mieux pour lui réprimer ses pleurs et a tendance à se renfermer sur lui-même.

Le bébé qui réclame la tétée continuellement

bébé allaité

Pour le bébé qui demande le sein très très souvent, après la diversification alimentaire, et aussi pour s’endormir, c’est le signe qu’il a besoin de plus décharger en pleurant.

J’ai observé à maintes reprises avec mes 2 enfants que lorsqu’ils avaient déchargé, soit ils repartaient gaiement dans leur activité, soit ils s’endormaient paisiblement (avec moins de réveils nocturnes).

Le bénéfice est double : l’enfant décharge, le parent récupère de l’énergie !

6 façons de bien vivre les pleurs de ton bébé

Si les pleurs ne sont pas à éviter, on se doit quand-même d’y répondre.

Être connecté à ton instinct de parent

C’est l’option la plus simple, ça ne passe pas par la réflexion puisque c’est inné, c’est ton instinct qui te guide. Tu sens si ton enfant est en danger ou pas, si ce qu’il se passe doit t’inquiéter ou pas et tu agis au mieux pour le protéger et le soulager.

l’instinct humain est commun aux animaux

Accueillir les émotions de ton bébé avec la méthode d’Aletha Solter

Aletha Solter exprime que les bébés et les enfants ont besoin de pleurer. Le besoin de pleurer est un besoin à part entière. Et moi, je dirais que chez les adultes aussi, la décharge est nécessaire. Quand nous stoppons ce processus physiologique naturel, cela a des conséquences négatives sur la santé et le bien-être car nous gardons les toxines à l’intérieur. Est-ce que tu t’empêches de faire pipi ? Non (je suppose) ; alors les larmes, c’est pareil !

Il s’agit d’écouter notre bébé pleurer par un contact physique étroit. On ne doit en revanche pas le maintenir dans un esprit de colère, de rancœur ou de punition. L’idéal est donc de se sentir disponible intérieurement, ou bien de demander du relais à un adulte de confiance à l’aise avec les pleurs. On peut reformuler (lui dire ce qu’on croit qu’il vit par une question ouverte) ou juste rester en présence silencieuse.

étreinte mère enfant

Les pleurs arrivent généralement le soir pour les nourrissons.
Lors des décharges, les pleurs sont intenses, l’enfant transpire, son crâne est souvent humide, et soudain, généralement après un gros soupir, il s’arrête. Soit il s’endort, soit il est éveillé et de bonne humeur.
La base de cette façon de faire est donc bien d’être physiquement en présence avec l’enfant.

Le co-parent (notamment le père qui n’allaite pas) a toute sa place dans ce processus.

C’est également très utile quand ces mêmes bébés grandissent, pour accompagner les colères, en plus des pleurs. Quand l’enfant pleure parce que son biscuit est cassé (image employée par Aletha Solter), qu’il a l’assiette bleu au lieu de l’assiette jaune ou toute raison généralement qualifiée de « caprice », c’est très souvent parce qu’il a besoin de décharger. Un temps de décharge efficace évite également à l’enfant de râler et gémir toute la journée.

pleurs petite fille

La connaissance du besoin de décharger (par les pleurs) me permet de renforcer ma patience, ma compréhension et mon empathie. Les enfants en dessous de 7 ans ont des tempêtes émotionnelles intenses. La méthode d’Aletha Solter permet, entre autres, de les accompagner au mieux. Avec mon fils de bientôt 6 ans, je remarque que le contact étroit ne lui correspond plus, alors il décharge de lui-même, en étant très en colère (contre nous, évidemment), soit il s’isole, soit il est autour de nous. Une fois l’émotion sortie, il nous parle comme avant, tout tranquillement.

Je t’invite à consulter l’article de la polyclinique de Bordeaux qui va dans le même sens que le mien.

Accueillir TES émotions en même temps que les pleurs de ton bébé

femme pleure

Dès que ton bébé pleure, tu peux te demander comment tu te sens quand tu l’entends et te laisser traverser par l’émotion.

Est-ce difficile pour toi ? As-tu envie qu’il s’arrête de suite ?

Si des émotions remontent, c’est peut-être le signe que l’enfant que tu as été pleure aussi 🙂  (oups, il y en a donc 2 à s’occuper !)

Il m’est arrivé d’écouter mon bébé pleurer, et de pleurer avec lui. Je prenais soin de moi et de lui en même temps.

Aletha Solter parle largement dans ses livres, de l’importance pour le parent d’être à l’écoute de son émotionnel pour pouvoir écouter celui de son enfant.

L’écouter et lui exprimer un message avec la Communication Connectée

communication connectée

Lorsque mes bébés pleuraient, je me disais « il y a quelque chose qui ne va pas, il va mal » tellement les pleurs sont associés au mal-être.

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Or, je me suis rendue compte, grâce à la communication connectée que parfois, il veut aussi exprimer tout autre chose ! Mais comme un nourrisson n’a que très peu d’option à part « pleurer », le raccourci peut vite être fait entre pleurs et tristesse.

Il peut être tout à fait surprenant de voir que la cause est très éloignée de ce que l’on pensait au départ. Pour le cas personnel de mes fils, cela donnait : « je n’ai pas pu dire au revoir à X. », « je veux que mon papa me dise quand il part et s’il en a pour longtemps », « je suis heureux ». Et puis très souvent après, mes bébés s’arrêtaient de pleurer !

Je vois cela comme un soulagement d’être enfin compris !

La Communication Connectée a été mise au point par Hélène Gérin et Frédéric Laloux qui ont d’ailleurs écrit un livre s’intitulant « J’ai tant de choses à dire ».

On utilise le test musculaire comme en kinésiologie (avec notre propre index, pouce ou poignet) pour interroger et dialoguer avec la sagesse intérieure d’une personne. Cela peut être réalisé avec des baguettes de sourcier également.

Dans leur livre est décrit tout un protocole pour poser des questions fermées à notre bébé et recueillir les réponses sous forme de ‘oui’ ou de ‘non’.

Dans le livre est expliqué un résumé de ce qu’elle est et de l’éthique associée :

Elle est une manière d’être pleinement à l’écoute de nos bébés, leur permettant de s’exprimer en toute liberté ; une occasion de cultiver une présence bienveillante et sans attente ; une manière supplémentaire de nourrir des liens d’amour et d’émerveillement avec nos bébés.

Elle doit être évitée pour être utilisée à ces fins :

Eluder nos responsabilités (faire porter la décision au bébé) ; nous immiscer dans l’intimité de nos enfants (il y a une demande d’autorisation avant chaque « communication ») ; nourrir une blessure personnelle (pour être dans le contrôle ou devenir des parents parfaits) ; chercher une réponse à tout (elle n’est pas infaillible).

Me concernant, j’ai de la difficulté à réaliser le test musculaire (même si les auteurs disent que c’est rarement un frein à la pratique) alors je fais appel à une amie, Hélène Dehaut, dont c’est la spécialité. Parfois, je la guide en lui exposant mes pistes, parfois non. Elle propose des formations pour apprendre la méthode en ligne ou en présentiel en Ariège (09-France). Les auteurs du livre recensent des personnes formées avec eux et des stages.

Utiliser ton intuition

intuition

L’intuition est innée, mais plus on l’écoute, plus elle se développe. Elle était généralement plus féminine que masculine car biologiquement elle provient de la sérotonine, synthétisée dans l’intestin, et plus présente chez les femmes que chez les hommes. Et les femmes étaient plus en contact avec leur nourrisson que les hommes, elles avaient intérêt à avoir de l’intuition pour prendre soin de leur bébé. La condition des hommes a évolué, ils sont aujourd’hui présents dès la naissance de leur enfant (et avant!) donc on peut émettre l’hypothèse que c’est pour cette raison que les hommes sont plus intuitifs que dans les générations précédentes.

Pour ma part, elle prend la forme de pensées récurrentes.
Je ne sais pas pourquoi j’ai cette information en tête, mais je l’ai, alors je la prends en compte.
J’ai écrit tout un article à propos de l’intuition, il y a de quoi dire ! 

C’est ce qu’il s’est passé pour mon deuxième garçon qui ne marchait toujours pas à 4 pattes après 1 an. J’ai eu une intuition (que je n’ai pas écoutée de suite pour ce coup-là) qui s’est avérée juste. Pour lire l’article à ce propos, clique ici.

Solution féline

Adopte un chat câlin connecté ! peut-être te réservera t-il de belles surprises comme la nôtre ?! Les chats sont des médiums, ils captent beaucoup de choses que les humains ne captent pas. Rois fainéants qui passent leur vie à dormir? pas si sûre… Je t’invite à lire l’histoire qui nous est arrivée.

Accepter que parfois, on ne sait pas, et … c’est ok !

Pour terminer, et bien, je dirais que c’est quand-même ce qu’il se passe souvent : je ne sais pas vraiment ce qu’il a (ou j’ai des hypothèses non vérifiées).

S’il était indispensable qu’un bébé parle dès sa naissance, alors, je suppose que le programme de l’espèce humaine aurait fait en sorte que cela soit le cas.

Un peu d’humilité pour sortir du contrôle et du désir d’être un parent parfait !

Sources:
Formation Pratique en épigénétique méthode Noguès
Ma super thérapeute en méthode Noguès!
Livre Pour une enfance heureuse – Catherine Gueguen
Mon bébé comprend tout et Pleurs et colères des enfants et des bébés – Aletha Solter
J’ai tant de choses à dire – Hélène Gérin et Frédéric Laloux
Livre Les 9 marches – Daniel Meurois et Anne Givaudan
Article polyclinique de Bordeaux

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5 commentaires

  • Marina

    Bonjour, merci beaucoup pour cet article très pertinent et hyper complet.
    Les pleurs de bébé sont sans doute le sujet n°1 lorsque l’on devient jeune parent. C’est une chose tellement abstraite qui exprime tellement de choses différentes. C’est parfois très angoissant ou très frustrant selon notre niveau de compréhension. Il faut prendre du recul et respirer profondément pour avoir l’esprit clair à ce moment-là !

  • esther

    Bonjour Bastienne, être parent c’est tout un apprentissage, gérer les pleurs de bébé c’est un autre monde, j’ai beaucoup appris, merci pour la méthode D’Aletha Solter, comment accueillir les émotions du bébé et les nôtres en même temps, il faut vraiment beaucoup d’humilité, beaucoup de recul, de compréhension et d’amour. Merci pour cet excellent article😊

  • Valérie

    Bonjour,
    Merci pour cet article !
    J’ai découvert beaucoup de choses dans beaucoup de domaines différents (y compris sur moi) : je vais relire tout ça tranquillement plusieurs fois pour bien mesurer la portée de tout et trouver ma voie pour agir de manière connectée !

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